Santé
Aujourd’hui, plus d’un tiers des jeunes renoncent à des soins.
Les jeunes cumulant études et emploi ou les jeunes au chômage (que nous préférons appeler jeunes « privé·e·s d’emploi ») sont en moins bonne santé que les autres.
Les jeunes recourent plus à des soins psychologiques que l’ensemble de la population. Les addictions, qui commencent presque systématiquement quand on est jeune, progressent de manière inquiétante.
Si on veut réellement que la santé soit un droit, il faut mettre des moyens !
Pour nous, la santé est un droit, pas une marchandise. Nous souhaitons que chaque individu puisse avoir accès à la santé, partout sur le territoire. Pour cela, nous proposons de sortir la santé des logiques financières.